Le Canada est une destination qui séduit un grand nombre d’investisseurs et de travailleurs français. D’ailleurs, l’immobilier dans le pays est un secteur en plein essor. Mais, même si les prix des logements sont aujourd’hui élevés sur certains marchés, les coûts d’intérêts hypothécaires sont proches de leurs plus bas niveaux historiques.
Et posséder sa propre maison présente de nombreux avantages, surtout à l’étranger. La possession de votre maison est un excellent abri fiscal. En effet, les gains sur votre résidence principale sont exonérés d’impôt sur les gains en capital. Cependant, cet avantage ne s’applique qu’à votre résidence principale.
Voici quelques informations sur l’investissement immobilier au Canada :
Ne pas sous-estimer le risque du marché immobilier canadien
L’impôt sur le revenu s’applique également aux gains réalisés sur les logements que vous achetez à des fins d’investissement, tels que les immeubles locatifs. De plus, ce type d’investissement immobilier au Canada implique un certain nombre d’autres engagements qui peuvent donner l’impression de gérer une petite entreprise.
En revanche, lorsque vous êtes propriétaires d’un bien locatif, vous devez passer du temps à rechercher et à traiter avec les locataires, à l’entretien, à la comptabilité… Vous pouvez engager d’autres personnes pour effectuer ces tâches, mais cela peut coûter très cher. De plus, les investissements immobiliers au Canada peuvent comporter des niveaux de risque plus élevés que les actions.
Les FPI peuvent vous aider à investir dans l’immobilier au Canada
La propriété d’une résidence principale représente tout le risque immobilier dont la plupart des investisseurs ont besoin. Toutefois, si vous souhaitez augmenter vos avoirs immobiliers, un moyen efficace de le faire consiste à adopter les FPI ou fonds de placement immobilier.
Ce dispositif permet d’investir dans des biens immobiliers productifs, tels que des immeubles de bureau et des hôtels. C’est un segment du marché auquel la plupart des investisseurs ont difficilement accès par le biais de la propriété directe de biens immobiliers.
