Après avoir complètement ignoré la pandémie (le marché était à un niveau record de 42 273 aussi récemment que le 20 janvier), le marché est passé en mode panique et a perdu 40% en seulement deux mois.
Détendez-vous, tout n’est pas perdu. Après avoir chuté de 40 % en peu de temps, les marchés sont entrés immédiatement dans une «phase haussière» récupérant 20 % du bas en un peu plus de quinze jours.
Etre réactif
Si vous construisez un nid à long terme, en investissant dans des actions / fonds communs de placement, avec un objectif de retrait pour répondre à une exigence de montant forfaitaire, par exemple, les études de votre fille à l’étranger ou l’acompte pour une nouvelle maison achat, n’attendez pas la veille de l’événement pour liquider vos avoirs.
Voici la réaction du marché boursier durant cette crise :
Les marchés pourraient être à leur plus haut niveau ou s’être effondrés en raison, par exemple, d’une guerre, d’une attaque terroriste majeure ou d’échecs consécutifs de mousson. Commencez à retirer systématiquement, plusieurs mois à l’avance, et garez votre investissement dans un dépôt bancaire sûr.
La psychologie humaine
C’est la psychologie humaine d’investir quand les marchés montent et de se replier dans une coquille, quand ils chutent. Vous trouverez rarement des conseillers qui vous poursuivent lorsque les marchés sont en période de turbulences. Ici, malgré ce que nos cerveaux paniqués nous disent, nous devons prêter attention à l’aphorisme du marché concernant «acheter quand il y a du sang dans les rues ».
Bien qu’il soit impossible d’identifier un fond, c’est peut-être le moment d’augmenter votre contribution SIP. Les dernières pandémies ont apparemment connu une deuxième vague, des mois après la première. Un tel scénario pourrait entraîner de nouveaux creux pour les marchés, auxquels les investisseurs devraient être préparés. Investir sur les marchés, ce n’est pas pour les timides. Bien qu’il soit parfaitement compréhensible de se sentir ravi des rendements époustouflants de votre relevé de portefeuille de fonds communs de placement pendant les phases euphoriques des marchés, les investisseurs doivent également prendre les plus bas, dans leur foulée.
